Voici un nouvel article que j’ai traduis de l’anglais sur le renforcement des sens fondamentaux chez le jeune enfant. Il est consultable et téléchargeable librement en ligne sur le site Waldorf Online Library, en langue anglaise.

Tout en ajoutant sa propre touche, il vient compléter de très nombreux articles de Chant des Fées, comme :

et bien d’autres encore !

Il a été d’une lecture assez bouleversante pour moi, ravivant des souvenirs difficiles de ma propre enfance. C’est bien. Oui, c’est bien, car, tous autant que nous sommes, nous nous construisons sur des manques, des souffrances, qui proviennent de notre enfance. Ne pas en tenir compte, c’est les reporter sur notre descendance, sur notre entourage.

J’ai plus de cinquante ans. Étant née à la fin des années soixante, vous imaginez bien que la question de l’accompagnement des enfants a énormément évolué depuis cette époque. Aujourd’hui, pour le parent qui veut sincèrement accompagner du mieux possible ses enfants, il y a une multitude d’informations de très bonnes qualités que l’on ne trouvait pas avant (et encore moins si on estimait n’avoir rien à apprendre de ses enfants ; le parent-dieu était omnipotent et omniscient et l’enfant n’était pas une personne… Je ne déplore en rien les grandes évolutions qui ont eu lieu bien que je ne fasse pas mienne la conception de « l’enfant-roi »).

Tout au contraire, je trouve que nous avons une chance immense de pouvoir accéder à des études de qualité, tant dans les neurosciences, qu’en psychologie, en sciences de l’éducation, en communication non violente, et j’en passe, les unes enrichissant les autres.

Il en résulte inévitablement pour l’adulte une nécessaire remise en question et un travail constant sur sa propre histoire. Les souffrances et émotions retrouvées sont une nécessité pour aller vers la guérison de soi et un accompagnement paisible de ses enfants.

Alors, en effet, j’ai revécu quelques souvenirs douloureux de ma propre histoire d’enfant dont les sens étaient abîmés… très maladroite, les récriminations et punitions physiques et psychologiques ont été marquantes. Ma condition de personne autiste Asperger n’étant pas connue ni reconnue, le déni de mon atypicité a été très fort, avec des conséquences parfois extrêmement dommageables et destructrices pour moi. Il est d’ailleurs très intéressant de noter grâce à cet article que Rudolf Steiner classe dans les sens fondamentaux le sens de la vie. Les sens, entre eux, interagissent ; par exemple, une proprioception déséquilibrée ne peut qu’avoir des répercussions sur le sens de la vie. C’est, du moins, ce que je comprends de mon propre cheminement… Nous avons vraiment de la chance, car nous pouvons revisiter ce qui a été dommageable pour nous et le changer en nous et autour de nous, pour le bien-être de nos enfants, petits-enfants et ainsi de suite.

Je suis heureuse d’avoir évité à mes filles bien des poids qui étaient présents dans ma propre éducation et notamment grâce à l’apport de la pédagogie Steiner. A l’heure où elles passent leur deuxième journée d’examen du brevet dans le collège public de notre secteur, nous mesurons encore plus cette chance. Elles réalisent d’elles-même à quel point ce dont elles ont bénéficié est qualitatif, malgré de très petits moyens, malgré les imperfections inévitables (merci à ces dernières d’exister pour qu’on se développe!) Nos efforts pour guérir de notre enfance et voir nos enfants s’épanouir pleinement n’ont pas de prix !

C’est forte de cette conscience que je vais maintenant me mettre à planifier la première année de lycée à la maison de mes filles.

Bon mois de juillet à toutes et tous !

sens

Renforcer les sens fondamentaux du jeune enfant

par Nancy Blanning et Laurie Clark

Beaucoup d’entre nous qui travaillons avec de jeunes enfants ont remarqué que ces dernières années, les enfants ont changé d’une manière qui nous concerne et nous inquiète. Aujourd’hui, plus d’enfants présentent des difficultés physiques et sociales que ce que nous avons connu dans le passé .

Dans les écoles maternelles et les jardins d’enfants, par exemple, beaucoup d’enfants sont maigres, pâles et fatigués de façon chronique. Ils sont nerveux, ne peuvent pas rester assis et sont tellement agités qu’ils tombent souvent de leur chaise. Le mouvement et le jeu ne viennent pas aussi facilement qu’auparavant. Beaucoup d’enfants ne sont pas coordonnés dans leurs mouvements et semblent maladroits. Certains se déplacent dans un abandon inconscient et incontrôlé, frappant et percutant leurs camarades. D’autres trouvent un coin tranquille et restent simplement là, évitant les déplacements à tout prix. La « sensibilité » – réagissant au moindre contact avec un autre enfant – une fragilité émotionnelle et des difficultés pour manger sont également courantes. De nombreux enfants rejettent les aliments sains et simples préparés pour la collation et préfèrent au contraire quelques aliments, souvent très raffinés.

Beaucoup de jeunes enfants ont également du mal à écouter et à traiter ce qu’ils entendent. Pendant l’heure du cercle, principale activité de la matinée au jardin d’enfants, ils sont distraits et ont du mal à imiter les gestes de l’enseignante. Et lorsque, pendant l’histoire, les enfants se voient offrir nourriture de l’âme et de l’esprit, certains d’entre eux ne peuvent pas créer intérieurement les images imaginatives puissantes contenues dans les histoires.

Les enfants ont également généralement plus de difficulté à interagir harmonieusement avec leurs camarades de classe. Le bourdonnement paisible et sain du jeu libre qui caractérisait jadis chaque jour au jardin d’enfant est maintenant difficile à créer et à maintenir. Dans le passé, les enfants étaient plus capables de créer des jeux à partir de leur propre imagination. Maintenant, ils imitent les personnages des médias. Mais les rôles et les comportements ne sont en réalité pas liés à de vraies relations humaines, et des conflits et des problèmes surgissent.

Pris ensemble, ces phénomènes indiquent que les enfants ont des difficultés à développer un équilibre sain dans le corps, dans l’esprit et dans l’âme grâce à l’intégration des sens décrite ci-dessus. Ils n’ont pas le sentiment fondamental de bien-être et d’harmonie dans leur corps physique qui devrait caractériser une enfance en bonne santé.

Selon Rudolf Steiner, l’être humain a douze sens. Quatre peuvent être appelés les sens fondamentaux. Ce sont le sens du toucher (le sens tactile) ; le sens de la vie ; le sens de l’auto-mouvement (le sens proprioceptif) ; et le sens de l’équilibre (le sens vestibulaire). C’est par ces moyens que l’âme et l’esprit de l’enfant se frayent un chemin dans le corps physique structuré.

Le sens tactile est le premier à être réveillé. Cela se produit au cours du processus même de la naissance lorsque les contractions utérines de la mère massent le fœtus, lui donnant un premier stimulus externe fort, et réveillant et tonifiant le sens du toucher. Un travail très court, une césarienne ou une période postnatale passée dans un incubateur peuvent entraîner une hypersensibilité chez le nourrisson et le jeune enfant. Pour cet enfant, une expérience tactile normale peut ressembler à une agression, et il évitera l’exploration du monde par le toucher qui fait partie du développement du nourrisson et du jeune enfant. Il est souvent exigent quant à la forme de ses vêtements, sur le fait d’être touché, et à propos de la température et de la texture des aliments.

Parfois, le sens tactile est surchargé comme dans un travail long et stressant. Ensuite, le sens du toucher de l’enfant se ferme en un geste de protection personnelle. Cet enfant peut ne pas être conscient d’avoir touché un autre enfant, que ses mains sont incrustées de sable et de boue ou que ses chaussures ne sont pas au bon pied. Comme Steiner le fait remarquer, le toucher nous donne une expérience de nos frontières, nous indiquant où nous finissons et où commence le reste du monde. Un sens du toucher sain constitue la base d’un sens des frontières sociales.

Le sens de la vie nous dit si nos processus physiologiques de base, tels que ceux impliqués dans l’alimentation, le sommeil, la respiration et l’élimination des déchets, fonctionnent correctement. Lorsque les choses vont bien, nous ne sommes généralement pas au courant de ce sens et de ce qu’il surveille. Quand il y a un problème, le sens de la vie crée le sentiment d’être de mauvaise humeur ou mal à l’aise. Les maux et les douleurs, les problèmes liés au sommeil et au réveil, à l’alimentation (indigestion, allergies alimentaires, incapacité à tolérer une variété d’aliments) s’inscrivent dans le sens de la vie. Les rythme prévisibles dans la vie quotidienne, l’intérêt chaleureux de la personne qui prend soin de l’enfant renforcent le sens de la vie.

Le sens proprioceptif, ou sens de l’auto-mouvement, nous parle de la position et des mouvement de notre corps. À chaque instant, il nous informe de l’emplacement dans l’espace de la tête, du tronc et des membres et de la relation entre eux. Pour ce faire, il détecte la contraction et l’étirement des muscles et la compression des articulations.

Un enfant avec un sens proprioceptif peu développé peut se déplacer dans une pièce comme une tornade, se cognant contre des personnes et des objets. Il peut aimer être au bas d’une d’autres enfants. Le stimulus externe lui donne l’expérience de la position du corps et des limites physiques que son propre sens proprioceptif ne parvient pas à indiquer. Un tel enfant peut vraiment ne pas savoir où se trouvent ses membres et comment ils bougent. Il peut être sincèrement incrédule quant au fait qu’il vient de balayer du bras une maison de blocs de bois que d’autres enfants ont passé vingt minutes à construire.

Une proprioception saine permet également de commencer un mouvement, de le contrôler et de l’arrêter. Ce sens de l’auto-mouvement nous permet de maintenir la tension musculaire adéquate pour une tâche comme lever un verre d’eau. Il nous permet également de nous tenir debout. Un enfant avec un faible sens de l’auto-mouvement trouve difficile de garder une posture droite et peut s’effondrer sur le sol lorsque l’occasion se présente, comme pendant l’heure du cercle. Ainsi, un enfant maladroit, qui se heurte souvent à des objets et à d’autres personnes et qui s’effondre facilement ou tombe tout simplement, peut avoir des difficultés avec le sens proprioceptif.

Le sens de l’équilibre, ou le sens vestibulaire, nous informe de notre position dans l’espace par rapport à la gravité. Travaillant de concert avec le sens proprioceptif, le sens de l’équilibre nous indique où nous sommes en relation avec notre environnement et nous maintient en équilibre, debout dans l’espace.

Les organes sensoriels vestibulaires – les canaux semi-circulaires – sont situés dans l’oreille interne. Les infections d’oreille, souvent de nature chronique, sont très courantes aujourd’hui chez les jeunes enfants, après avoir remplacé la rougeole, la varicelle et d’autres maladies inflammatoires que les vaccins préviennent maintenant. Ainsi, le sens vestibulaire et le sens de l’audition sont tous deux attaqués. Certains antibiotiques utilisés pour lutter contre les infections de l’oreille peuvent en réalité endommager l’oreille interne et les canaux semi-circulaires.

Les enfants présentant une faiblesse vestibulaire sont généralement de deux types extrêmes. Un type est très sensible aux mouvements de toutes sortes et évite les rotations, les balancements et les retournements. L’autre est assoiffé de mouvements, tout le temps. Un enfant de ce type peut tourner en rond sur la balançoire et ne jamais avoir la tête qui tourne. Il semble avoir besoin de mouvements constants, de toujours gigoter et basculer sur sa chaise. Le sens vestibulaire chez ces enfants manque de réactivité et nécessite donc un flot constant de stimuli pour déterminer le centre de gravité de l’enfant. Cet enfant peut aussi être un casse-cou qui manque de prudence.

On ne saurait trop insister sur l’importance de ce sens de l’équilibre. C’est un élément unificateur dans l’ensemble du système et il semble motiver tout le système nerveux à fonctionner correctement.

Le développement sain de ces quatre sens chez le jeune enfant constitue le fondement de toutes les compétences de haut niveau – cognitives, sociales, spirituelles – dans l’enfance et tout au long de la vie. Lorsque les sens fondamentaux fonctionnent bien, l’enfant a du plaisir et de la joie à vivre dans son corps. Il évolue de manière équilibrée, coordonnée et intégrée. Il est désireux d’explorer le monde et de nouvelles expériences sensorielles, et n’est pas timide. L’enfant est bien équilibré, littéralement et métaphoriquement, et comprend également les frontières sociales.

En réalité, cependant, de plus en plus d’enfants souffrent du développement sain de ces quatre sens. L’incarnation dans le corps physique par l’intermédiaire des quatre sens fondamentaux a été perturbée et l’harmonie des mouvements et du comportement des jeunes enfants est dérangée. Il y a diverses explications à cela. Audrey McAllen, fondatrice de « L’Extra Leçon », une méthode largement utilisée dans les écoles Waldorf pour faire face aux problèmes d’apprentissage, de comportement, etc, fait référence à la stimulation sensorielle constante et puissante à laquelle sont soumis les enfants d’aujourd’hui.

L’auteur bien connu, Joseph Chilton Pearce, développe ce point de vue en décrivant « l’effet de surprise » et son utilisation par les médias. Pearce écrit que les enfants sont essentiellement catatoniques lorsqu’ils regardent la télévision – et ne prêtent donc pas vraiment attention à l’émission ou aux pauses publicitaires. Les producteurs de télévision injectent donc des bruits forts et imprévus, ainsi que des changements soudains de volume et d’éclairage dans les programmes, pour choquer l’enfant (et l’adulte) et le ramener à un état attentif. Ces stimuli puissants amènent le système nerveux sympathique à libérer une hormone surrénalienne habituellement sécrétée uniquement dans des situations d’urgence. Le cortisol accélère le rythme cardiaque et respiratoire, augmente la tension musculaire et prépare l’enfant au combat ou à la fuite. Ainsi, les enfants qui passent du temps devant une télévision sont bombardés sans relâche de puissants stimuli sensoriels qui les maintiennent dans un état d’excitation. Les vidéos de musique, les films et les jeux informatiques contribuent également à cette sur-stimulation chronique. Pearce considère les médias comme l’une des causes de l’anxiété et des troubles sensoriels qui affectent les enfants aujourd’hui.

La stimulation sensorielle extrême qu’un enfant rencontre dans le divertissement électronique le prépare à une situation de crise dans laquelle une action réactive est nécessaire. En l’absence d’une telle situation, le corps de l’enfant commence à prendre un certain niveau de cortisol comme normal. Ce qui suscitait autrefois la réaction de combat ou de fuite (et le réveillait pour les publicités) devient inadéquat. Ainsi, ces dernières années, les créateurs de divertissement électronique ont régulièrement augmenté la vitesse à laquelle les images changent, le volume des effets sonores et la qualité de choc des images elles-mêmes.

L’absence de possibilités de mouvement, en particulier de mouvements physiques libres et spontanés, affecte également négativement les enfants. Plutôt que de marcher ou de faire du vélo pour aller à l’école et rendre visite à des amis, les enfants sont aujourd’hui conduits ici et là par leurs parents. Pour des raisons de sécurité, il est peu probable que les enfants profitent des jeux et de l’exploration non supervisés avec des amis dans le quartier. Ils passent beaucoup de temps à se divertir passivement par la télévision, les films, les vidéos et les ordinateurs. La plupart sont épargnées par les tâches quotidiennes et les tâches ménagères qui, à un âge plus précoce, formaient et renforçaient les sens fondamentaux.

Les activités quotidiennes du jardin d’enfants Waldorf ont toutes pour objectif de renforcer ces sens primaires. Les périodes de jeu libre ; les jeux rythmiques qui impliquent de taper des mains et des pieds et d’autres mouvements corporels ; la mise en geste des événements des histoires racontées par l’enseignant ; et la participation aux tâches et au ménage du jardin d’enfants, telles que balayer, laver la vaisselle, préparer la table pour le goûter et pétrir la pâte à pain, tout cela favorise la bonne santé de l’enfant. Chacun de ces éléments de la séquence quotidienne d’activités est renforcé par le chaleureux enthousiasme de l’enseignant et par la beauté de la salle de classe.

De nombreux enseignants de jardin d’enfants ajoutent à ces activités Waldorf standards des expériences particulières de mouvement. Ces enseignants amènent les enfants à effectuer une série de mouvements dans un contexte pictural imaginatif. L’imagination confère au mouvement une force et une signification et le porte au plus profond de l’être de l’enfant. Ces mouvements enrichis en imagination ont un effet plus profond que la simple callisthénie ou la thérapie physique et peuvent être à la fois thérapeutiques et hygiéniques.

Par exemple, on pourrait raconter à une classe de maternelle l’histoire de « Tippery Tim et le pot d’or ». Tippery Tim est un leprechaun qui garde un pot d’or au pied d’un arc-en-ciel. La classe part en voyage à la recherche de Tippery Tim. Les enfants rampent sous les racines d’un arbre imaginaire pour le chercher, marchent sur un pont (une poutre d’équilibre surélevée), courent sous une cascade (une corde à sauter) et descendent du haut de l’arc-en-ciel (en bas d’un tapis de gym disposés pour créer une petite colline) avant de finalement trouver l’or. Cela se fait chaque semaine pendant un trimestre, et chaque semaine, Tippery Tim a un petit trésor dans son pot en or pour chaque enfant – un cristal, une étoile et enfin des cloches comme celles que le lutin porte au bout de ses chaussures.

Les parents peuvent faire certaines choses pour aider leurs enfants à développer ces sens fondamentaux d’une manière saine. Ceux-ci incluent :

  • tenir à un rythme et à un schéma prévisibles quotidiens, afin que l’heure des repas, l’heure du coucher et les heures des autres activités quotidiennes importantes soient cohérentes ;

  • offrir des possibilités de jeu libre et d’exploration à l’intérieur et à l’extérieur ;

  • emmener les enfants fréquemment et régulièrement pour des promenades et des sorties dans la nature, quelle que soit la météo ;

  • encourager les jeux impliquant de courir, sauter, sautiller, être en équilibre, ramper et bondir (les jeux traditionnels pour enfants tels que le cache-cache, la marelle et la corde à sauter sont parfaits) ;

  • éviter de s’exposer aux médias, en particulier à la télévision, aux vidéos et aux ordinateurs ;

  • encourager les enfants à manger une grande variété d’aliments sains.

La culture d’aujourd’hui est pleine de menaces qui pèsent sur le développement sain des sens fondamentaux chez le jeune enfant. Mais si nous sommes conscients de ces risques, nous pouvons néanmoins donner à nos enfants une base physique solide pour la vie dans le monde et assurer leur développement en tant qu’adultes en bonne santé.

NANCY BLANNING est une enseignante de jardin d’enfants à la retraite après plusieurs années d’enseignement et de travail thérapeutique de remédiation à la Denver Waldorf School, au Colorado. Nancy est rédactrice en chef de Gateways, la lettre d’information de WECAN.

LAURIE CLARK est l’enseignante principale du jardin d’enfant à la Denver Waldorf School où elle enseigne depuis plus de 30 ans.

Crédits photos dans l’ordre d’apparation : Krivec sur Pexels ; Cocoparisienne sur Pixabay.

Licence Creative Commons
Renforcer les sens fondamentaux du jeune enfant, traduction de Monique Tedeschi est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Partage dans les Mêmes Conditions 4.0 International.
Fondé(e) sur une œuvre à https://www.waldorflibrary.org/images/stories/articles/waldorfkindergartenreprint.pdf.
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Monique

méditations

Crédit photo Aurore de Hulster

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